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samedi 17 août 2013

Jacques Vergès : l'homme des mystères (2)

En écrivant mon billet d'hier "Jacques Vergès : l'homme des mystères", je pensais que ce serait ma seule et modeste contribution à la biographie de ce grand homme dont tous les médias nationaux nous accablent depuis hier de versions hagiographiques.

Elle portait sur un point très mineur, mais significatif : il est né en 1924 et non en 1925, et tous les titres qui le font mourir à 88 ans sont donc faux ; Paul, son cadet, né lui en 1925, n'est donc pas son jumeau ! L'un et l'autre se sont cantonnés, toute leur vie, dans ce mensonge qui est sans importance.

Ce qui m'a toutefois incité à envisager de donner quelques billets complémentaires dont le projet figure ci-dessous ; on y trouvera à la fois l'accumulation des sottises et des contrevérités qui apparaissent tant dans les nécrologies que dans les commentaires.

En voici un exemple suite à la référence, indispensable évidemment, que j'avais faite à mon livre de 2007 Vergès : père, fils & frères : Une saga réunionnaise :
"Hahaha mais quel vautour ce mec, il profite de la mort de Vergès pour soutirer un billet en nous vendant son livre de merde".

L'élégance du propos m'a définitivement décidé à aider à la manifestation de la vérité et à l'élucidation des mystères, en allant, en bonne rhétorique, des moins importants aux plus graves, selon le plan suivant :

Jacques Vergès. L'engagement dans les Forces Françaises Libres et l'armée (1943-1945),

Jacques Vergès et l'argent : le "marronnage" (1970-1978). Le FLN, Mobutu ou Tschombé ?

Jacques Vergès : "la cible mouvante",

"Jacques Vergès l'anticolonialiste" : "Petits arrangements entre amis" ou "Les liaisons dangereuses",

Jacques Vergès et l'ami François Genoud : le banquier des nazis et/ou le nazi des banquiers.

N'y a-t-il pas là de quoi intéresser celles et ceux qui souhaitent connaître la vérité et allécher les thuriféraires de Jacques Vergès, à moins qu'ils ne préfèrent continuer dans leurs imaginations et ses mensonges ?

Ce projet vous paraît-il à poursuivre ?

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