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lundi 24 janvier 2011

Ajout involontaire au précédent!

Le hasard fait bien les choses!

Au cas où la chose vous aurait échappée, le samedi 08 juin 2010 après-midi, Françoise Tenenbaum, adjointe déléguée à la solidarité et à la santé, a procédé à la remise des médailles de la famille française salle de Flore à Dijon.

Voici le récit de la cérémonie.

"Créée en 1920 par décret, modifié le 28 octobre 1982, la médaille de la Famille française est « une distinction honorifique décernée aux personnes qui élèvent ou ont élevé dignement de nombreux enfants, afin de rendre hommage à leurs mérites et de leur témoigner la reconnaissance de la Nation ».


Samedi après-midi, Françoise Tenenbaum, adjointe déléguée à la Solidarité et à la Santé, a procédé à la remise des médailles de la Famille française, salle de Flore.

C'est donc une façon de récompenser ces mères méritantes qui, par leur dévouement et leur abnégation, ont su assumer leur rôle, même si ces mères, quant à elles, pensent qu'il n'y a là aucun mérite.

L'instruction des demandes est réalisée par l'UDAF qui diligente les enquêtes. Les médailles sont attribuées par décision du préfet, l'avis du sénateur-maire ayant été préalablement requis.

C'est ainsi que vingt et une mères, devant toutes les familles réunies, ont reçu leur médaille. Huit médailles d'argent (six ou sept enfants) : Fatiha Benhalima, Fouzia Amezane, Fatima Boularess, Aïcha Hadj-Abderrahmane, Mama Lefdou, Fatima Loubbi, Rosaria Rutigliano, Aïcha Tasry.

Treize médailles de bronze (quatre ou cinq enfants) : Saadia Ayar née Ayar, Saadia Ayar née Jabir, Medhia Bargaoui, Fatima Batta, Diane Brenot, Saâdia Brouzi, Fatima Et-Tellah, Nacéra Farsi, Fatima Haddache, Nathalie Lerbet, Zineb Oussghir, Stella-Cora Robert, Latifa Sabik.

bienpublic.com

1 commentaire:

Expat a dit…

Cher Usbek,

si vous continuez sur cette voie vous n'allez pas tarder à vous faire "zemmouriser".
Ne seriez-vous pas en train d'insinuer que nous assistons, dans l'allégresse fournie par des statistiques volontairement incomplètes, à la substitution d'une population par une autre ?
Jacques Bainville écrivait en 1924 dans son "Histoire de France" que "le peuple français est un composé. C'est mieux qu'une race. C'est une nation." Je crois qu'on ne peut guère plus hélas, presque 90 ans plus tard, que retenir la première proposition. D'où effectivement ce souci actuel de ne pas trop développer des statistiques qui indiqueraient l'effritement de la nation française.
Ce travers concernant les statistiques est très bien développé dans le récent livre de Michèle Tribalat "Les yeux grand fermés" qui indique l'absence de statistiques sérieuses relatives à l'immigration au sens large ou alors leur orientation destinée à nous persuader que l'immigration est forcément une chance pour la France.
C'est cela qui s'appelle désormais la démocratie, quand les citoyens non seulement ne disposent pas de toutes les données pour choisir, mais en plus font l'objet permanent d'une intox visant à leur montrer une fausse réalité.